L'ouvrage dénonce les mythes de l'industrialisation et du développement pour s'attaquer aux véritables raisons : la destruction des sources de créativité et le surréalisme suicidaire.
Si on peut parler d'une nouvelle sensibilité culturelle, elle est surtout le fait de certaines fractions des classes moyennes, en particulier de celles issues de l'élargissement de l'espace socio-économique organisé par l'Etat-Providence
Centrant son ouvrage sur le thème de l'équité et du développement, Jacques Hallak montre, par une approche multidisciplinaire, l'immense faillite des systèmes scolaires et le désarroi des sciences de l'éducation dans le monde : croissance incontrôlée des effectifs ; inflation des dépenses ; faiblesse des rendements ; maintien des inégalités ; chômage des « enseignés ». Il pose la vraie problématique de l'économie de l'éducation qui s'exprime en ces termes : « Quelle éducation ? Pour qui ? Et pour quel développement ? ».
Chacun cherche l'autre, l'autre n'est pas là. Il travaille, il consomme, il se repose. Sans l'autre, chacun se résigne à meubler sa solitude par la même absurde destruction du temps : travailler, consommer, se reposer. Ainsi, la société n'est-elle plus que l'organisation collective de la destruction solitaire du temps. L'absence des autres. La solitude. L'inflation mondiale. Le développement inégal. Absurdes rapprochements ? Irréel inventaire ? Fil conducteur central, à notre avis, de l'histoire des luttes et de l'espérance d'aujourd'hui, par lequel, dans le silence des outils, viendra le temps de la parole.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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La crise actuelle de la ville est en particulier le fruit de réalisations bâclées et d'un urbanisme tout juste octroyé. Aujourd'hui cependant, des formes de négociations contractuelles se développent et dessinent des perspectives nouvelles. Elles valorisent la multiplicité des points de vue et font place aux initiatives municipales. Faut-il croire ceux qui y voient la chance d'une modernisation politique et d'une catalyse des énergies locales ? Dès l'orée du siècle, lorsque les communes commencent d'être affrontées à la gestion de la ville moderne, le souci de l'efficacité croise d'emblée l'ambition de refaire la société « par le bas ». Le développement urbain gagnerait à s'enraciner dans un réseau local d'initiatives, de liens et de solidarités. Quelle est donc cette prégnance du sentiment local dans notre imaginaire politique ? Il fallait examiner comment affiliations et obligations peuvent s'actualiser dans le temps, et pourquoi aux perfectionnements gestionnaires répond une volonté toujours renouvelée d'enracinement. A quelles fins, en somme, la technique et la « Polis » cherchent-elles à se conjuguer ? L'analyse du municipalisme, dans ses figures historiques et contemporaines, révèle ainsi les implications profondes mais également les paradoxes des innovations actuelles. L'adaptation des services urbains à la diversité des attentes conduit en effet à l'affaiblissement des références qui donnaient sens à l'action collective. Et l'appel élargi à l'opinion publique se résume trop souvent au dialogue avec les nouvelles « technélites ».
La crise actuelle de la ville est en particulier le fruit de réalisations bâclées et d'un urbanisme tout juste octroyé. Aujourd'hui cependant, des formes de négociations contractuelles se développent et dessinent des perspectives nouvelles. Elles valorisent la multiplicité des points de vue et font place aux initiatives municipales. Faut-il croire ceux qui y voient la chance d'une modernisation politique et d'une catalyse des énergies locales ? Dès l'orée du siècle, lorsque les communes commencent d'être affrontées à la gestion de la ville moderne, le souci de l'efficacité croise d'emblée l'ambition de refaire la société « par le bas ». Le développement urbain gagnerait à s'enraciner dans un réseau local d'initiatives, de liens et de solidarités. Quelle est donc cette prégnance du sentiment local dans notre imaginaire politique ? Il fallait examiner comment affiliations et obligations peuvent s'actualiser dans le temps, et pourquoi aux perfectionnements gestionnaires répond une volonté toujours renouvelée d'enracinement. A quelles fins, en somme, la technique et la « Polis » cherchent-elles à se conjuguer ? L'analyse du municipalisme, dans ses figures historiques et contemporaines, révèle ainsi les implications profondes mais également les paradoxes des innovations actuelles. L'adaptation des services urbains à la diversité des attentes conduit en effet à l'affaiblissement des références qui donnaient sens à l'action collective. Et l'appel élargi à l'opinion publique se résume trop souvent au dialogue avec les nouvelles « technélites ».
Chacun cherche l'autre, l'autre n'est pas là. Il travaille, il consomme, il se repose. Sans l'autre, chacun se résigne à meubler sa solitude par la même absurde destruction du temps : travailler, consommer, se reposer. Ainsi, la société n'est-elle plus que l'organisation collective de la destruction solitaire du temps. L'absence des autres. La solitude. L'inflation mondiale. Le développement inégal. Absurdes rapprochements ? Irréel inventaire ? Fil conducteur central, à notre avis, de l'histoire des luttes et de l'espérance d'aujourd'hui, par lequel, dans le silence des outils, viendra le temps de la parole.
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À l'heure où beaucoup s'interrogent sur les possibilités de réconcilier l'Entreprise et la Société, ce livre apporte un éclairage nouveau sur les alternatives gestionnaires. Il démontre, exemples à l'appui, que le monde de la gestion économique est pluriel, divisé, enjeu d'interprétations contradictoires. Et, surtout, il établit un lien inédit entre l'avènement de la révolution informationnelle et le bouleversement des règles du jeu économiques. Au coeur même de la compétition mondiale, l'entreprise ne peut se séparer de son environnement local, l'efficacité doit être sociétale. Mais cet objectif ne peut être atteint, s'il reste un débat d'experts, s'il n'est pas approprié par les gens d'en bas, s'il ne devient pas un enjeu central pour tous les acteurs de l'entreprise : cadres comme salariés d'exécution, syndicalistes comme managers. Ce livre concerne au premier chef tous les acteurs de l'entreprise, mais aussi tous ceux qui cherchent une alternative à la pensée unique et à l'idéologie de la mondialisation.
Quelques éléments conceptuels pour aborder les nouvelles réalités régionales de façon analytique et cohérente : interactions entre logique économique et institutions politiques, développement régional, réagglomération de la production, globalisation des f
Une étude dont l'objet est de rendre compte de la façon dont la famille, par sa composition, ses structures, s'inscrit dans l'emploi et contribue à définir les formes de travail et d'activité économique, tant pour les individus, les groupes ou les institu
La mythologie programmée se situe entre les fragments des mythes anciens et certaines pratiques sociales auxquelles il est impossible de se soustraire. Elle se manifeste à travers des supports concrets, personnages ou objets comme la carte de crédit, mère Teresa ou la bioéthique.
Si l'entreprise veut préserver ses chances de réussite, elle devra prendre en compte toute la richesse de la relation qu'elle entretient avec ses salariés.
Met en question les certitudes affichées par tant d'auteurs libéraux, marxistes ou tiers-mondistes sur l'interprétation du passé et les possibilités d'en tirer des enseignements.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Analyse l'évolution de la valeur du travail entre les XVIe et XVIIIe siècles en France, puis les propos tenus à l'encontre du sauvage, le plus souvent perçu comme ne travaillant pas. La pensée économique qui se constitue alors utilise la figure du sauvage comme un contre-modèle pour le nouvel ordre de société qu'elle souhaite instituer.
Le chômage de cette fin de siècle déjoue autant la sagacité des économistes que celle des gouvernants. Pourquoi, dans une économie si largement mondialisée, les divers pays connaissent-ils des niveaux et des formes de chômage si divers?
Une exploration du phénomène de multinationalisation.