Après Sapiens qui explorait le passé de notre humanité et Homo Deus la piste d'un avenir gouverné par l'intelligence artificielle, 21 leçons pour le XXIe siècle nous confronte aux grands défis contemporains.
Pourquoi la démocratie libérale est-elle en crise ? Sommes-nous à l'aube d'une nouvelle guerre mondiale ? Que faire devant l'épidémie de « fake news » ? Quelle civilisation domine le monde : l'Occident, la Chine ou l'Islam ? Que pouvons-nous faire face au terrorisme ? Que devons-nous enseigner à nos enfants ?
Avec l'intelligence, la perspicacité et la clarté qui ont fait le succès planétaire de ses deux précédents livres, Yuval Noah Harari décrypte le XXIe siècle sous tous ses aspects - politique, social, technologique, environnemental, religieux, existentiel... Un siècle de mutations dont nous sommes les acteurs et auquel, si nous le voulons réellement, nous pouvons encore redonner sens par notre engagement. Car si le futur de l'humanité se décide sans nous, nos enfants n'échapperont pas à ses conséquences.
« Tout finit mal avec Patrick Buisson. » Devant les caméras de télévision, un fils désavoue son père. Et condamne celui qui enregistrait secrètement ses réunions avec Nicolas Sarkozy, alors président de la République.
Ce livre est un récit qui aurait dû rester dans le secret des âmes, la confession d'une souffrance qui n'aurait pas dû éclater au grand jour. Georges Buisson raconte l'histoire dont il souhaite à présent se défaire, après s'être affranchi du destin qui lui était assigné. Il dévoile le parcours personnel et public d'un homme qui a quitté la marge pour infiltrer le coeur du pouvoir politique et médiatique.
Depuis cinquante ans, Patrick Buisson est le conseiller de l'ombre qui a accompagné, pensé puis favorisé la montée de l'extrême droite en France. De cette tragédie qui ne connaît pas encore de fin, il n'est pas l'acteur le plus exposé, ni le plus connu. Mais il en est le plus déterminé. Et probablement le plus important. C'est le secret le mieux gardé de l'extrême droite.
Fruit de cinq années de travail, L'Ennemi est un livre hors du commun, où l'on croise les plus grands hommes politiques : de Jean-Marie Le Pen à Nicolas Sarkozy, en passant par Philippe de Villiers. Dans une langue magnifique et puissante, Georges Buisson nous offre une histoire personnelle de la droite radicale française depuis Mai 1968.
Un événement.
7 septembre 1979. C'est la première semaine de cours au collège Hélène Keller. Oliver « Boo » Dalrymple - élève de quatrième à la pâleur spectrale et au coeur malade, scientifique en herbe et paria social - récite les cent six éléments du tableau périodique devant son casier. Dans la seconde qui suit, il se réveille au « Village », un au-delà exclusivement réservé aux trépassés de treize ans. Il ne tarde pas à découvrir que sa mort ne résulte pas, comme il le croyait, d'une défaillance de son coeur malade. Boo a été assassiné
Et le coupable pourrait bien l'avoir suivi jusque dans l'au-delà...
Dans l'île de Siberut, en Indonésie, les Mentawaï luttent pour conserver leur mode de vie, en totale communion avec la nature, au coeur de la jungle. Profondément animiste, malgré une assimilation à marche forcée mise en oeuvre par les régimes indonésiens successifs, la tribu des Mentawaï s'évertue à conserver ses traditions séculaires, et à les transmettre. La jungle constitue la première ressource de ses habitants, et la vie est quotidiennement ponctuée de cérémonies chamaniques destinées aux soins et au maintien de l'harmonie au sein des familles.
Tahnee Juguin parle le mentawaï et vit une partie de l'année avec eux. Jean-Denis Pendanx l'a accompagnée pendant son dernier séjour dans la jungle, en 2018. Tous deux livrent ici, entre documentaire et fiction, un récit de haute volée.
"Ce livre est l'histoire de mes mensonges.
Sans doute est-ce le plus risqué que j'écrirai jamais.
Il m'est vital.
Jusqu'où suis-je allé dans l'aveu ? Je n'ai pris aucun ménagement.
Un jour, il faut bien déchirer le voile, rompre avec le comédien et coïncider avec soi."
Le manifeste de Stéphane Bern pour la sauvegarde du patrimoine.Le patrimoine est une passion française. Chaque année, des millions de nos compatriotes se pressent dans les monuments historiques, lieux de pouvoir, jardins privés, maisons d'illustres... sans doute parce qu'ils sentent que le patrimoine est notre héritage commun, ce qui nous relie à l'Histoire et que nous devons transmettre aux générations futures. Partout en France, des bénévoles se mobilisent pour donner de leur temps, de leur énergie et leurs moyens au service de cet immense chantier qui crée de la convivialité, porte de l'identité heureuse et génère de l'économie, notamment dans les villages où se trouvent la moitié du patrimoine national.
Certes, 90 millions de touristes visitent la France chaque année, heureux de découvrir nos trésors patrimoniaux mais sur 44 000 monuments recensés à ce jour sur notre territoire, 9 000 sont dégradés, et plus de 3 000 menacés de péril. Faudrait-il les laisser tomber ? Abandonner ces trésors architecturaux à l'outrage du temps ? Renoncer à protéger cet héritage du passé et ces savoir-faire qui sont un conservatoire des métiers d'art français ? Ce serait assurément une faillite intellectuelle, une faute morale, une erreur politique, un non-sens économique et un hara-kiri culturel ! Le patrimoine doit rester une cause nationale et l'affaire de tous, qu'il soit public ou privé, archéologique ou du XXe siècle, castral ou religieux, paysager ou vernaculaire, industriel ou ouvrier... Victor Hugo, écrivait déjà en 1832 dans " Guerre aux démolisseurs ", " il y a deux choses dans un édifice : son usage et sa beauté. Son usage appartient au propriétaire, sa beauté à tout le monde, à vous, à moi, à nous tous. Donc, le détruire, c'est dépasser son droit ".
C'est pourquoi j'ai accepté la mission que m'a confiée le président de la République Emmanuel Macron en 2017 : dresser un inventaire précis des urgences région par région et trouver des solutions innovantes de financement. C'est ainsi qu'est né ce Loto du Patrimoine qui a tant fait parler mais qui s'est révélé un formidable succès. D'abord pour que les Français se réapproprient ce combat utile pour tous, ensuite comme levier économique dans les territoires ruraux.
Comme vous pouvez l'imaginer, cette Mission Patrimoine n'a pas été une promenade de santé, mais bien davantage un chemin de croix doublé d'un combat de boxe, contraint, malgré ma nature conciliante, de pousser des coups de gueule pour forcer les blocages administratifs. C'est cette expérience unique, à la fois enrichissante sur le plan humain par les rencontres avec des passionnés et étonnante par cette plongée l'univers politique et administratif dont j'ignorais tout. Mais si parfois j'ai été tenté de tout abandonner, la cause valait tous les sacrifices. Car ce combat pour le patrimoine a donné un vrai sens à ma vie. Celui de la transmission d'un héritage commun, celui qui rassemble et réconcilie les Français.
Car sauver le patrimoine, c'est nous sauver nous-mêmes.
Pénélope a toujours été une fille timide, transparente, le genre qui n'a pas appris à s'aimer. À mesure qu'elle grandit, cependant, on découvre le terrible secret qui l'étouffe : elle vit sous le joug d'une mère tentaculaire, toxique, le genre qui dévore ses petits. Et un jour, par
faiblesse ou par amour, convaincue que sa mère étendra son influence néfaste sur plusieurs générations, Pénélope fait un choix terrible : elle se sépare de son bébé.
Romane est au lycée, près de Bordeaux.
C'est une fille bien en équilibre, portée par ses parents qui l'adorent, sa bande de potes et son amour tout frais, Rudy. Et pourtant il lui manque quelque chose, il lui manque quelqu'un.
Ce que Romane comme Pénélope ignorent, c'est que parfois les mères nous détruisent à petit feu, parfois elles nous sauvent.